Et dire qu’on les a longtemps relégués à de simples vins de cuisine ! Ces vins qui traversent le temps comme des secrets bien gardés, jusqu’à récemment refaire surface, auréolés d’un nouveau regard. Les Rancios secs, vins emblématiques du Roussillon, trop longtemps oubliés dans les caves familiales, connaissent aujourd’hui une renaissance inattendue, mais ô combien méritée..
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Catégorie -L’édito de la semaine
« Une bouche riche et puissante », « des évocations de noix sèches, de pomme verte, de curry » : longtemps, les vins jaunes ont été résumés à cette stylistique si singulière. Une typicité qui, d’ailleurs, demeure toujours au cœur de l’essentiel de la production. Souvent perçus comme des monuments immuables, ils sont pourtant au cœur d’une révolution discrète, mais profonde, menée par des vignerons visionnaires comme, entre autres, Stéphane Tissot, dont vous trouverez l’interview cette semaine.
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Ici, on les appelle vins de voile, tandis que, là-bas, on les désigne sous le nom de rancio. Certains les nomment volontiers : vins oxydatifs, tandis que d’autres soutiennent précisément qu’ils ne le sont pas. Derrière ces termes se révèlent des siècles de savoir-faire ancestral, où l’air et le temps ont su devenir des alliés incontournables…
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En préparant notre série de reportages sur les Satellites de Saint-Émilion, plusieurs confidences à propos de Saint-Georges Saint-Émilion ont éveillé notre curiosité : « C’est un monde à part là-bas », « Il y a une mentalité spéciale ! ». Ces remarques, loin de nous décourager, ont au contraire attisé notre envie de comprendre ce qui pouvait rendre cette petite appellation si singulière.
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Aux portes de l’une des régions viticoles les plus renommées au monde, l’appellation Montagne-Saint-Émilion trace sa voie en toute discrétion. Ses terroirs n’en sont pourtant pas moins riches et possèdent tous les atouts pour que ses vins puissent eux aussi figurer parmi les références du Bordelais.
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Lorsque l’on évoque les vins de Saint-Émilion, l’esprit vagabonde spontanément vers les grands noms, les châteaux emblématiques, les crus classés qui font rêver. Pourtant, à l’ombre de cette renommée se cache un univers bien plus discret : les satellites de Saint-Émilion. Ces appellations moins connues, qui incluent Montagne-Saint-Émilion, Lussac-Saint-Émilion, Saint-Georges-Saint-Émilion et Puisseguin-Saint-Émilion, méritent pourtant bien plus qu’un simple regard de passage.
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Pour les esprits chagrins, l’avenir du vignoble de Gaillac peut sembler bien morose. Malgré son histoire, sa notoriété reste relative. Sa position géographique ne le place pas à proximité immédiate d’une grande métropole. De plus, à une époque où beaucoup privilégient les vins blancs, sa production est largement dominée par les rouges. Comme de nombreux autres vignobles, Gaillac n’échappera pas à une vague massive d’arrachages dans les années à venir. Un mal pour un bien ?
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68 %. C’est le pourcentage de la production réservée aux rouges, dans le Gaillacois. Un chiffre qui peut surprendre lorsque l’on sait que cette couleur n’a été officialisée qu’en 1970 dans le cadre de l’appellation. Ici comme ailleurs, les rouges ont longtemps été représentés par des cépages dit « internationaux » comme le Merlot, le Cabernet Franc, le Cabernet Sauvignon, sans oublier la Syrah et le Gamay. Aujourd’hui, les trois cépages emblématiques du Bordelais n’y représentent plus que 21,6 % de l’encépagement. Comme pour les blancs, l’heure est à la réappropriation des cépages locaux…
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L’histoire de Gaillac est intimement liée à une couleur : le blanc. D’ailleurs, lorsque l’appellation est née, en 1938, seuls ses blancs pouvaient la revendiquer. Bien qu’aujourd’hui minoritaires, ce sont toujours eux que l’on associe le plus communément à cette appellation. Le blanc, ou plutôt les blancs. En effet, les Gaillac blancs peuvent se targuer d’offrir une rare diversité de styles de vins : secs, perlés, doux, vendanges tardives, vins de voiles, sans oublier les vins effervescents dont la méthode ancestrale est le porte-étendard. Une chance me direz-vous ?
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« C’est une force considérable de pouvoir faire des vins effervescents, secs, doux, oxydatifs, rosés et rouges. » Il suffit parfois d’une simple phrase pour résumer la complexité d’un vignoble. Cette phrase, que vous retrouverez dans l’interview de la semaine, c’est le vigneron de Gaillac Michel Isaly qui en est l’auteur. Un vigneron qui témoigne aussi de la chance d’avoir pu préserver sur les terroirs de Gaillac, d’anciens cépages locaux…
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