Lors de notre première semaine dans la vallée du Loir, Amandine Fresneau, la présidente du syndicat viticole local évoquait en notre compagnie le déficit de notoriété dont souffraient toujours les Coteaux-du-Loir. D’aucuns pourraient voir dans sa taille modeste, seulement 74 hectares revendiqués aujourd’hui, la justification de cette discrétion.

Sa voisine, Jasnières, dont les surfaces plantées sont à peine plus importantes, 78 hectares, bénéficie pourtant quant à elle d’une véritable reconnaissance dans la vinosphère. Comment expliquer cette différence d’appréciation ? Pour découvrir la suite de l’édito abonnez vous à MédiavinoPRO

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