À l’instar des blancs, les rouges de Mâcon sont souvent associés à de simples petits vins de comptoir à boire sous la tonnelle les beaux jours venus. Un regard partagé par le site, pourtant officiel, des vins de Mâcon qui les décrit ainsi : « Le Mâcon rouge emprunte à son cépage, le Gamay, les joyeux arômes de petits fruits rouges, perceptibles surtout dans les premiers mois qui suivent la mise en bouteille. Le Mâcon rouge a beaucoup d’aplomb et demande à s’arrondir en bouteille selon les millésimes entre un et trois ans. » En lisant entre les lignes, ces rouges inspiraient donc, au mieux de la sympathie, au pire, une forme de rudesse que seules les années viendraient polir…
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Catégorie -L’édito de la semaine
Alors que l’écho des bouchons de champagne résonne encore dans nos récents souvenirs, il est déjà temps de débuter une nouvelle année sur Médiavino+ ! Pour bien l’amorcer, direction le sud de la Bourgogne pour un voyage dans le Mâconnais. Une région que nous avions déjà explorée en 2021 à travers Pouilly-Fuissé, Pouilly-Loché et Pouilly-Vinzelles, et qui continue de tracer sa voix sur la route des grands vins de Bourgogne. En effet, après la reconnaissance en 2020 de 22 de ses climats en Premiers Crus sur Pouilly-Fuissé, les voisins Loché et Vinzelles ont également franchi cette étape importante.
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Et dire qu’on les a longtemps relégués à de simples vins de cuisine ! Ces vins qui traversent le temps comme des secrets bien gardés, jusqu’à récemment refaire surface, auréolés d’un nouveau regard. Les Rancios secs, vins emblématiques du Roussillon, trop longtemps oubliés dans les caves familiales, connaissent aujourd’hui une renaissance inattendue, mais ô combien méritée..
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« Une bouche riche et puissante », « des évocations de noix sèches, de pomme verte, de curry » : longtemps, les vins jaunes ont été résumés à cette stylistique si singulière. Une typicité qui, d’ailleurs, demeure toujours au cœur de l’essentiel de la production. Souvent perçus comme des monuments immuables, ils sont pourtant au cœur d’une révolution discrète, mais profonde, menée par des vignerons visionnaires comme, entre autres, Stéphane Tissot, dont vous trouverez l’interview cette semaine.
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Ici, on les appelle vins de voile, tandis que, là-bas, on les désigne sous le nom de rancio. Certains les nomment volontiers : vins oxydatifs, tandis que d’autres soutiennent précisément qu’ils ne le sont pas. Derrière ces termes se révèlent des siècles de savoir-faire ancestral, où l’air et le temps ont su devenir des alliés incontournables…
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En préparant notre série de reportages sur les Satellites de Saint-Émilion, plusieurs confidences à propos de Saint-Georges Saint-Émilion ont éveillé notre curiosité : « C’est un monde à part là-bas », « Il y a une mentalité spéciale ! ». Ces remarques, loin de nous décourager, ont au contraire attisé notre envie de comprendre ce qui pouvait rendre cette petite appellation si singulière.
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Aux portes de l’une des régions viticoles les plus renommées au monde, l’appellation Montagne-Saint-Émilion trace sa voie en toute discrétion. Ses terroirs n’en sont pourtant pas moins riches et possèdent tous les atouts pour que ses vins puissent eux aussi figurer parmi les références du Bordelais.
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Lorsque l’on évoque les vins de Saint-Émilion, l’esprit vagabonde spontanément vers les grands noms, les châteaux emblématiques, les crus classés qui font rêver. Pourtant, à l’ombre de cette renommée se cache un univers bien plus discret : les satellites de Saint-Émilion. Ces appellations moins connues, qui incluent Montagne-Saint-Émilion, Lussac-Saint-Émilion, Saint-Georges-Saint-Émilion et Puisseguin-Saint-Émilion, méritent pourtant bien plus qu’un simple regard de passage.
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Pour les esprits chagrins, l’avenir du vignoble de Gaillac peut sembler bien morose. Malgré son histoire, sa notoriété reste relative. Sa position géographique ne le place pas à proximité immédiate d’une grande métropole. De plus, à une époque où beaucoup privilégient les vins blancs, sa production est largement dominée par les rouges. Comme de nombreux autres vignobles, Gaillac n’échappera pas à une vague massive d’arrachages dans les années à venir. Un mal pour un bien ?
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68 %. C’est le pourcentage de la production réservée aux rouges, dans le Gaillacois. Un chiffre qui peut surprendre lorsque l’on sait que cette couleur n’a été officialisée qu’en 1970 dans le cadre de l’appellation. Ici comme ailleurs, les rouges ont longtemps été représentés par des cépages dit « internationaux » comme le Merlot, le Cabernet Franc, le Cabernet Sauvignon, sans oublier la Syrah et le Gamay. Aujourd’hui, les trois cépages emblématiques du Bordelais n’y représentent plus que 21,6 % de l’encépagement. Comme pour les blancs, l’heure est à la réappropriation des cépages locaux…
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