Catégorie -L’édito de la semaine

1

« Irouléguy : une nouvelle ère sous le signe des blancs ! »

Pendant longtemps, l’identité d’Irouléguy s’est construite autour de ses rouges puissants et structurés. Le Tannat y laissait son empreinte, souvent accompagné du Cabernet Franc, cépage dont le Pays basque revendique d’ailleurs fièrement la paternité. Ces vins, d’un caractère affirmé, s’accordaient parfaitement avec la dureté et l’âme de ces terres escarpées. Toutefois, avec le temps, les modes, et les évolutions dans les techniques d’élevage, ce regard s’est progressivement transformé, laissant place à des rouges plus avenants.
Pour découvrir la suite de cet édito, abonnez vous à Médiavino+

youtube

« La cave coopérative d’Irouléguy : une histoire de terroir et de résilience »

Au cœur des montagnes basques, là où les coteaux de vignes dessinent des paysages majestueux, se trouve l’une des plus petites caves coopératives de France : la cave coopérative d’Irouléguy. Avec ses 114 hectares de vignes, elle est bien plus qu’un simple lieu de vinification, elle incarne l’histoire même de l’appellation. Une histoire qui commence au sortir de la Seconde Guerre mondiale, une époque où le paysage viticole basque, dévasté, semblait voué à disparaître. Dans un élan de résistance, une poignée de paysans et de propriétaires terriens décident de lutter contre l’arrachage des dernières vignes et de convaincre leurs voisins de redonner vie aux coteaux. En 1952, leur union donne naissance à la cave coopérative d’Irouléguy. Au fil des années, les vignes reprennent possession des terres, et l’appellation commence à se faire reconnaître, culminant en 1970 avec l’obtention de l’AOC Irouléguy.
Pour découvrir la suite de cet édito, abonnez vous à Médiavino+

 

youtube

« Irouléguy, l’appel des sommets »

Certains vignobles suscitent un attachement viscéral. Irouléguy en fait partie. Ces terroirs escarpés, enracinés dans l’unique AOC de vin du Pays basque, attirent de plus en plus de vignerons décidés à écrire leur propre histoire. Qu’il s’agisse de créations comme le domaine Brana par le passé ou d’anciens coopérateurs pionniers ayant choisi l’indépendance, à l’image d’Arretxea ou d’Ilarria, la dynamique est bien réelle. Depuis cinq ans, dix nouveaux domaines ont rejoint l’appellation ! Ils sont donc aujourd’hui 21, en plus de l’historique cave coopérative, à faire rayonner ce vignoble de caractère.
Pour découvrir la suite de cet édito, abonnez vous à Médiavino+

1

« Vouvray effervescents : entre tradition et audace »

À Vouvray, les vins effervescents règnent en maître, incarnant à eux seuls 60 % de la production de l’appellation. La méthode traditionnelle s’impose comme le socle de leur identité, mais, derrière cette apparente uniformité, des nuances précieuses se dessinent. Parmi elles, le « pétillant » se distingue par une effervescence plus délicate, fruit d’une adjonction modérée de liqueur de dosage. Avec une pression réduite à 2 ou 3 bars, loin des 3 à 6 bars habituels, elle offre une alternative raffinée et subtile.
Pour découvrir la suite de cet édito, abonnez vous à Médiavino+

1

« Vouvray, au royaume des sucres »

À Vouvray, le sucre n’est pas une simple question de dosage, ici, d’un millésime à un autre, les styles évoluent, façonnés par la nature et les choix des artisans du chenin. De quelques grammes à plusieurs centaines par litre, la palette est infinie, oscillant entre fraîcheur cristalline et richesse envoûtante. Pour ceux qui cherchent des repères stricts dans le style des vins, déguster un blanc tranquille de cette appellation relève donc de l’expérience perpétuelle…
Pour découvrir la suite de cet édito, abonnez vous à Médiavino+

 
 

1

« Vouvray, une appellation deux regards »

À quelques encablures de Tours se cache l’une des appellations les plus emblématiques de la Loire : Vouvray. Nichée au nord du fleuve, cette AOC jouit d’une réputation qui, depuis le 17e siècle, dépasse largement nos frontières. Réputée pour la polyvalence dans le style de ses vins – des effervescents frais et accessibles aux moelleux de garde, en passant par les secs droits et minéraux tous issus du cépage Chenin, Vouvray est aujourd’hui le théâtre d’une réalité qui divise : celle d’une production à deux vitesses.
Pour découvrir la suite de cet édito, abonnez vous à Médiavino+

1

« Quid du Mâcon rouge ? »

À l’instar des blancs, les rouges de Mâcon sont souvent associés à de simples petits vins de comptoir à boire sous la tonnelle les beaux jours venus. Un regard partagé par le site, pourtant officiel, des vins de Mâcon qui les décrit ainsi : « Le Mâcon rouge emprunte à son cépage, le Gamay, les joyeux arômes de petits fruits rouges, perceptibles surtout dans les premiers mois qui suivent la mise en bouteille. Le Mâcon rouge a beaucoup d’aplomb et demande à s’arrondir en bouteille selon les millésimes entre un et trois ans. » En lisant entre les lignes, ces rouges inspiraient donc, au mieux de la sympathie, au pire, une forme de rudesse que seules les années viendraient polir…
Pour découvrir la suite de cet édito, abonnez vous à Médiavino+

1

« Le nouvel horizon du Mâconnais ! »

Alors que l’écho des bouchons de champagne résonne encore dans nos récents souvenirs, il est déjà temps de débuter une nouvelle année sur Médiavino+ ! Pour bien l’amorcer, direction le sud de la Bourgogne pour un voyage dans le Mâconnais. Une région que nous avions déjà explorée en 2021 à travers Pouilly-Fuissé, Pouilly-Loché et Pouilly-Vinzelles, et qui continue de tracer sa voix sur la route des grands vins de Bourgogne. En effet, après la reconnaissance en 2020 de 22 de ses climats en Premiers Crus sur Pouilly-Fuissé, les voisins Loché et Vinzelles ont également franchi cette étape importante.
Pour découvrir la suite de cet édito, abonnez vous à Médiavino+

1

« Rancio sec du Roussillon, l’éveil d’un trésor oublié »

Et dire qu’on les a longtemps relégués à de simples vins de cuisine ! Ces vins qui traversent le temps comme des secrets bien gardés, jusqu’à récemment refaire surface, auréolés d’un nouveau regard. Les Rancios secs, vins emblématiques du Roussillon, trop longtemps oubliés dans les caves familiales, connaissent aujourd’hui une renaissance inattendue, mais ô combien méritée..
Pour découvrir la suite de cet édito, abonnez vous à Médiavino+

1

« Vins jaunes du Jura, la discrète révolution »

« Une bouche riche et puissante », « des évocations de noix sèches, de pomme verte, de curry » : longtemps, les vins jaunes ont été résumés à cette stylistique si singulière. Une typicité qui, d’ailleurs, demeure toujours au cœur de l’essentiel de la production. Souvent perçus comme des monuments immuables, ils sont pourtant au cœur d’une révolution discrète, mais profonde, menée par des vignerons visionnaires comme, entre autres, Stéphane Tissot, dont vous trouverez l’interview cette semaine.
Pour découvrir la suite de cet édito, abonnez vous à Médiavino+