Marie-Hélène Veyrunes et Thomas Faure ont longtemps été salariés du domaine Les Lys avant d’en devenir les propriétaires. Un domaine certifié en agriculture biologique depuis 2016 qui s’inscrit désormais dans une approche naturelle.
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S’il est bien un cépage qui correspond aux attentes du moment, c’est bien le Pineau d’Aunis. À travers sa robe légère et sa fraîcheur, il est devenu en une dizaine d’années, une star des bars à vin. Pour autant, moyennant des rendements limités et des élevages adaptés, il peut aussi offrir un visage plus ambitieux
C’est à la suite d’une reconversion professionnelle qu’Élisabeth et Benoît Jardin se sont retrouvés dans la vallée du Loir en 1994. Engagé en agriculture biologique dès 2002, le domaine des Maisons Rouges travaille en biodynamie depuis 2009. Aujourd’hui, c’est un trio familial qui le compose, puisque Julien Peltier à rejoint ses beaux-parents depuis quelques années.
Installé sur la commune de Sainte-Anne-d’Évenos, le domaine Dupuy de Lôme bénéficie d’un environnement unique. Un amphithéâtre naturel qui bénéficie d’une fraîcheur singulière sur les terroirs de Bandol.
En compagnie de son frère Julien, Vincent Constant est officiellement aux commandes du domaine Ray-Jane depuis l’année passée. Une révolution de velour pour cette famille installé sur les terroirs de Bandol depuis le XVIIIe siècle.
Le domaine des trois filles, c’est la concrétisation d’un rêve. Celui de la famille Arlon qui, avec l’arrivée d’Audrey, Léonie et Justine, a décidé de petit à petit délaisser la coopération pour créer son propre domaine en 2013.
Lorsque l’on évoque Bandol, difficile d’échapper à son cépage iconique : le mourvèdre. Cépage et emblème de cette appellation, il se raconte à travers le témoignage de 2 vignerons.
Laura Lardy a grandi à Fleurie. À ce titre, elle porte sur ce cru un regard particulier. Pour autant, elle s’épanouit également dans son métier de vigneronne en jouant sur les terroirs d’autres crus voisins, comme Chénas, Moulin-à-Vent ou encore Morgon.
Il était ébéniste à Paris, il est aujourd’hui vigneron dans le Beaujolais, sur Chénas en particulier. Un vigneron engagé qui a fait le choix de travailler de ses mains et rien que de ses mains, sans la moindre mécanisation. Ce vigneron, c’est Hadrien Houbert.