Il y a encore peu, personne n’aurait parié sur eux. Et pourtant, sur les Côtes-de-Bourg, les blancs refont surface – comme un écho à une mémoire enfouie. « À l’époque de mes grands-parents, on faisait principalement du blanc ici ! », se souvient Guillaume Guérin, que l’on retrouve dans notre podcast hebdomadaire. Une phrase simple, mais révélatrice d’un passé qu’on croyait révolu. Car si les Côtes-de-Bourg se racontent aujourd’hui en rouge, elles se sont longtemps rêvées en blanc. À présent, cette couleur ne représente plus qu’une infime part du vignoble : 2 % de la production, 40 hectares, une trentaine de domaines à peine sur les 180 que compte l’appellation…
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