| En 2018, lors de mon premier séjour sur le vignoble corrézien, je me souviens m’être demandé ce que je venais y chercher. Je n’avais alors pour seuls repères que deux noms – Didier Mouton et Jean Moulène –, deux phares dans un territoire dont j’ignorais tout. Le reste n’était qu’un pointillé sur une carte où mon regard ne savait encore rien projeter. Et puis la Corrèze s’est révélée. J’y ai découvert Les 1 001 Pierres, l’une des plus petites caves coopératives de France, la cave des Coteaux de la Vézère et leurs terrasses de schistes, ainsi que les rares vins de paille, ces flacons de patience qui racontent la ténacité d’un territoire…
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