Depuis 2009, Nadia Landry dirige une entreprise dédiée à la création et la préservation de murs en pierre sèche, un élément clé du paysage viticole de Banyuls-Collioure. Formée à l’économie sociale et solidaire, elle met son savoir-faire au service de leur restauration, face à l’abandon de ces ouvrages essentiels à ce vignoble. Dans cette interview, elle évoque les défis de leur préservation et les solutions nécessaires pour assurer leur avenir.

Nadia, comment vous êtes-vous retrouvée aux commandes d’une entreprise spécialisée dans la pierre sèche ? 

À la création de mon entreprise en 2009, j’étais associé à André Pagès. André était formateur en pierre sèche. Personnellement, je n’avais pas le savoir-faire.

Quel a été votre cheminement pour occuper ces fonctions ? 

Je me suis retrouvée professionnellement dans une association qui gère des chantiers d’insertion, dans ce domaine. C’est là où j’ai appris ce métier. Par ailleurs, en 2018, j’ai repris mes études pour être dirigeante d’entreprise de l’économie sociale et solidaire.

Dans le cadre de votre entreprise, vous vous êtes concentrée exclusivement sur le vignoble, ou aussi sur les particuliers ? 

Nous sommes particulièrement centrés sur les pavillons qui ont besoin d’aménager leur jardin. Nous faisons des interventions dans les vignes, une fois par an. Malheureusement, les murettes ont été un peu laissées de côté.

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