À l’instar des blancs, les rouges de Mâcon sont souvent associés à de simples petits vins de comptoir à boire sous la tonnelle les beaux jours venus. Un regard partagé par le site, pourtant officiel, des vins de Mâcon qui les décrit ainsi : « Le Mâcon rouge emprunte à son cépage, le Gamay, les joyeux arômes de petits fruits rouges, perceptibles surtout dans les premiers mois qui suivent la mise en bouteille. Le Mâcon rouge a beaucoup d’aplomb et demande à s’arrondir en bouteille selon les millésimes entre un et trois ans. » En lisant entre les lignes, ces rouges inspiraient donc, au mieux de la sympathie, au pire, une forme de rudesse que seules les années viendraient polir…

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