Nicole, en parcourant votre site, on remarque une discrétion singulière : aucun visage, juste un nom, « La Maison Tapon ». Qui se cache donc derrière cette enseigne énigmatique ?

Derrière « La Maison Tapon », il y a une histoire familiale riche de 16 générations de vignerons sur Saint-Émilion. Cependant, à Saint-Georges, c’est une aventure plus récente que nous avons entreprise avec mon mari. Nous avons acquis des terres dans cette appellation, et notre premier millésime y a vu le jour en 2004.

Où êtes-vous basés dans le Libournais ?

Nous sommes basés à Saint-Émilion, où notre propriété s’est construite au fil des générations. Au fil du temps, nous avons acquis des parcelles réparties sur plusieurs appellations et satellites, ce qui est aujourd’hui une véritable force face aux risques climatiques. Avoir des vignes sur différents terroirs est probablement la meilleure assurance pour garantir une récolte chaque année.

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