À son arrivée sur le domaine familial, Alain Rothier regardait les cépages rouges du Gaillacois avec une forme de curiosité. Au fil des années, il a appris à les connaître et à les vinifier pour aujourd’hui les décliner sous différentes formes.
Alain, où en êtes-vous des vendanges ?

Elles sont désormais terminées sur les rouges. Nous commençons les premiers décuvages.

Des vendanges qui se terminent début octobre, est-ce encore normal ?

Ces dernières années, nous finissions beaucoup plus tôt. Cette année, elles se sont étalées plus longuement. Il y a vingt ou trente ans, vendanger en octobre relevait de la normalité.

Pouvez-vous nous présenter votre domaine ?

Pour découvrir la suite de cette interview abonnez vous à Médiavino+

S'abonner