Il y a peu de temps encore, l’essentiel des raisins provenant des terroirs de Chénas était vendu en vrac au négoce ou apporté à la coopérative locale. Chénas souffrait d’un manque de reconnaissance qui freinait la montée en gamme de ses vins. Un déficit de notoriété qui se traduisait aussi par une forme de complexe vis-à-vis des voisins…

Moulin-à-Vent, Fleurie, voire Juliénas. L’heure des complexes est désormais révolue et le plus petit des crus du Beaujolais suscite désormais curiosité, intérêt, voire convoitise pour certains de ses domaines. Comment pourrait-il en être autrement ? Il suffit de sillonner les 240 hectares de son vignoble, pour s’apercevoir qu’une partie de ce cru, sur les hauteurs de la commune de Chénas dans l’aire Les Brureaux est composée de roches granitiques, de veines de quartz, voire de silex. Les mêmes fameux granites roses que l’on peut retrouver sur Fleurie… Pour découvrir la suite de l’édito abonnez vous à MédiavinoPRO

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